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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 12:09

Dernière rando vélo à la chasse aux cols ce matin dans la région de Tarascon. C’est après midi nous partons à St Jean Pied de Port rejoindre Maryvonne et Roland pour vivre une autre aventure en rando pédestre sur le GR10.

Je profite du beau temps revenu ce matin pour effectuer un parcours qui consiste en deux aller-retour partant du col de Péguère.

37Km ; 1100m de D+ ; 7 cols 

Cyclomania restera muet le temps de la rando pédestre….

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 12:07

La pluie, l’orage et le vent de la nuit dernière ne m’incitent pas à randonner ce matin. C’est finalement cet après midi que je m’engage sur la montée du Prat d’Albis partant de Foix. C’est une montée par une belle route jusqu’à 1350m d’altitude, partant de 400m. Cette montée de 15Km, est assez régulière, avec quand même un passage à 13%. Vers les 900m d’altitude, je rentre dans la couche nuageuse et au sommet la visibilité n’est que de 25m. D’ailleurs un troupeau de chevaux barre la route et m’oblige à mettre pied à terre pour les éloigner. Dans cette purée, le point de vue est totalement nul.

BIG-355 ; Prat d’Albis ; 1350m d’altitude ; 950m de D+

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 14:50

Rando vélo ce matin dans les environs de Massat. J’ai concocté un superbe circuit au travers de la campagne Ariègeoise qui me permet de collecter de nombreux petits cols et 1 BIG (col de Péguère). Je termine ce circuit par l’ascension du col de Péguère bien connu par les cyclistes dans la région. En effet, à partir du col de Caugnous, 947m, la rampe nommée le mur de Péguère est à 18% sur 400m. Les trois derniers km sont à une pente moyenne de 11,5%. Ce n’est pas si facile…

Rando : 57Km ; 1480m de D+ ; 11 cols ; 1 BIG 

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 14:48

C’est aujourd’hui la répétition générale pour notre futur périple sur le GR10.  Maryvonne, Roland, Danièle et Rémi forment l’équipe de randonneurs. C’est sur une étape de GR10 de Marc à Goulier près de Auzat que nous allons peaufiner nos derniers préparatifs. Nous cheminons en creux de la vallée d’Artiès jusqu’à l’étang d’Izourt. Au fond de la vallée, le sentier s’élève très fortement jusqu’à l’étang d’Izourt formé par un barrage à 1647m. Le retour suit à nouveau la vallée d’Artiès en s’élevant jusqu’à 1745m et reste pendant de nombreux km aux environs de 1500m. Le sentier souvent creusé sur le flanc abrupt de la montagne n’en finit pas de suivre les méandres des rochers. Il faut rester vigilant car sur notre gauche, le hors sentier est fortement pentu et nul doute qu’en cas de chute on pourrait dévaler plusieurs dizaines voir centaines de mètres. Enfin le village de Goulier où on va pouvoir déguster une bonne bière. Un café ! « Un café mais il n’y en a pas ici » nous informe un habitant de passage dans la rue. Un café ! « Moi je vous l’offre ; entrez chez moi » nous crie une dame par sa fenêtre. « Merci madame ; mais c’est un bistrot que l’on cherche » explique Maryvonne. Finalement, l’habitant nous emmène à son domicile pour remplir nos gourdes d’eau fraîche. Il nous reste encore une heure de marche pour retrouver la voiture et terminer la randonnée.

 A Auzat, devant une bière fraîche, le débriefing est positif ; rendez-vous Samedi matin à St Jean-Pied de Port pour le départ de notre périple GR10

Rando : 23Km ; 1100m de D+ ; 9h (temps de repos compris)

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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 18:01

Petite sortie vélo ce matin de 37Km pour aller chercher deux cols : Le cabus, 965m et le col de Port 1250m. Partant de notre location à Tarascon, c’est une  ascension facile sur une très belle route. C’est un peu moins vrai lorsque je m’écarte de la D618 pour aller cueillir le col de Cabus par une toute petite route signalée à 3 chevrons sur la carte. Après ce passage, le circuit revient sur la D618 et il me reste 5km pour atteindre le sommet du col de Port. J’aime beaucoup ces petites randos à la découverte des cols, seul sur des petites routes de montagne sans aucune pression. C’est pour moi beaucoup plus sympa que les épreuves de masse auxquelles j’ai participé dernièrement : L’Ardèchoise et l’Ariègeoise.

Rando pédestre de 3h cet après midi pour ce préparer à notre périple sur le GR10

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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 17:56

Aujourd’hui dimanche pas de vélo, je dois récupérer de ma journée d’hier. D’ailleurs de 10h à 18h il n’arrête pas de pleuvoir. Heureusement que nous n’avons pas eu ce temps pour l’Ardèchoise. Cet après midi petite marche pour descendre au pont du diable à l’abri sous le parapluie. J’ai découvert ce passage vendredi dernier lors de mon circuit à vélo.

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 16:45

C’est le grand jour de l’Ariègeoise. Il y a trois formules et on doit faire son choix à l’inscription :

-           L’Ariègeoise : 160,8Km ; 3430m de D+ ; arrivée au plateau de Beille

-           La Mountagnole : 117,4Km ; 2569m de D+ ; arrivée au plateau de Beille

-           La Passejade : 68,5Km ; 745m de D+ ; arrivée à Tarascon

Les départs sont au centre ville de Tarascon, à partir de 8h et décalés d’une demi-heure pour les deux autres formules.C'est 4160 participants répartis sur les trois départs. Avec Roland, nous sommes sur la ligne de départ à 7h15 pour l’Ariègeoise. Nous partons juste derrière les 300 dossards privilégiés. En attendant 8h, nous faisons connaissance d’un jeune participant qui arrive du Canada. Il est en France pour quelques semaines et participe à quelques épreuves comme l’Ariègeoise. La température est douce, 20°C ; le plafond nuageux est très bas ; nul doute que dès le premier col on sera dans la brume des nuages. Trois minutes avant 8h, on nous colle au groupe des privilégiés et pile à 8h, c’est le départ d’une grande aventure. Les 12 premiers Km sont plats, le peloton de 800 cyclistes roule entre 35 et 40km. Nous sommes à plein la route heureusement assez large et tout le monde suit à la même vitesse. Tout à coup : Chute ! Chute ! Chute…. patatraque, chacun pour soi, pour tenter d’éviter la chute collective. Je vois furtivement un pauvre mec sur le bitume qui tente de se relever parmi cette meute qui le double de tous les côtés. C’est reparti, 40Km/h pour boucher le trou provoqué par la chute. Au rond point le peloton se sépare et passe à gauche et à droite, c’est comme au tour de France mais avec beaucoup plus de cyclistes.  Étranglement de la chaussée ; ça gueule,ça freine, et surtout ça sent mauvais le pneu râpé sur le bitume et l’échauffement des patins de freins. On tourne à droite pour traverser un village aux rues très étroites ; çà bouchonne, le peloton s’étire car nous sommes maintenant dans l’ascension du col de Lauze 948m. Comme je m’y attendais, je ne suis pas dans le coup, toussotant et crachotant, je me fais dépasser par des dizaines et des dizaines de cyclistes. Vers 800m d’altitude, nous sommes dans le brouillard, la route est trempée et ceci n’arrange pas ma ventilation. La descente est dangereuse par une petite route très étroite,  avec de nombreux lacets mais très bien signalés par des panneaux et des signaleurs. Dans le deuxième col, Col de Montségur 1059m , même scénario, des dizaines et des dizaines de cyclistes me dépassent. Je me dis qu’à ce train là, je vais être dernier. Roland depuis longtemps est loin devant. Bon, il va falloir gérer, car il reste encore plus de 120Km et deux grosses difficultés. Dans la vallée je suis enfin dans un groupe qui roule à  ma main. Nous sommes environ une vingtaine dont deux jeunes femmes. Une de ces deux femmes me précède et j’admire son coup de pédale très souple, avec une allure superbe. C’est une Hollandaise très grande, belle blonde, d’ailleurs un mec essaie de la baratiner avec son mauvais anglais. Elle finit par lui répondre en Français, juste avant d’accélérer pour boucher un trou. Le baratineur en fera les frais, on ne l’a pas revu. Elle n’hésite pas à relayer à son tour, vraiment c’est une belle athlète. Les trois petits cols « Chioulade 523m ; Charcany 571m ; Py 525m » étirent le peloton mais  à chaque fois, on se regroupe dans la descente. La température est plus élevée, les routes sont sèches et l’air est moins humide, ce qui me va mieux. C’est très bien organisé, il y a plusieurs ravitaillements et surtout de nombreux points d’eau. Nous sommes aussi souvent encourager par les habitants avec parfois des animations musicales, chorales improvisées, déguisements… Au 120ème Km, un gars d’un groupe qui nous précède est resté allongé sur le bitume, des gens sont autour de lui et visiblement attendent l’ambulance. Les kilomètres défilent et cela nous rapproche du final, et surtout des dernières difficultés. Tiens mais c’est Maurice, le Mayennais « Tu es là toi… Bien oui, je fais ce que je peux…) . Patatraque, chute au milieu du paquet ; 4 dans le même tas, je les évite d’extrême justesse ; Maurice aussi… J’en ai les jambes qui tremblent… Nous voilà au pied du col de Souloumbrie 911m, il y a beaucoup de vélos car la Mountagnole empreinte le même final. Rapidement je perds le contact avec la tête de mon groupe, je suis incapable de suivre la grande blonde. Même le Mayennais me lâche à son tour . Décidément ce n’est pas mon jour ; je me demande comment je vais arriver au plateau de Beille.  Au sommet du col je fais le plein en eau d’un bidon, c’est le seul arrêt que je m’accorde. La personne qui me donne l’eau me met en garde sur la dangerosité de la dernière descente vers le village des Cabannes. En effet la route est très étroite, et les lacets très serrés; mais encore une fois le signalement est parfait. Il est 13h30 au moment où j’attaque le pied du plateau de Beille. Enfin il fait chaud, l’air est sec , c’est mieux pour moi. Il y a des cyclistes plein la route, il y en a même qui descende, ce sont les premiers de la Mountagnole. Maintenant, j’ai mal sous les pieds, aussi je m’arrose les chaussures avec l’eau du bidon. Ah mais, juste devant, un maillot des Ponts de Cé ; c’est Roland. Dur, dur pour Roland, lui aussi souffre des pieds. Mon compteur est à 8Km/h ; c’est long 15Km à pareille vitesse. Plein de cyclistes sont arrêtés sur le bord de la route, certains marchent sur les chaussettes tenant les chaussures à la main, d’autres s’arrêtent à tous les points d’eau. Tiens Maurice, le Mayennais, lui aussi est cuit. Ah mais c’est le Canadien qui me double, c’est au moins la troisième fois qu’il me double. Il va plus vite que moi mais il s’arrête à tous les points d’eau. Ah m… et ce con qui redémarre me barre la route et a failli me faire tomber. Il est loin le sommet, encore 5km, la pente est beaucoup plus faible maintenant mais la vitesse de mon compteur ne change pas, toujours 8Km/h ; c’est dur… Ouf ! je vois Danièle et Maryvonne sur le bord de la route « bien tu es déjà là !!! ». Enfin la ligne d’arrivée ; c’est fini en 7h25mn. Roland arrive environ 5mn plus tard et tous les deux nous obtenons donc l’Ariègeoise d’Or (< 8h)

Organisation parfaite sur cette cyclosportive ; un seul point noir, la circulation des voitures devrait être interdite dans la montée de plateau de beille dès que les premiers cyclistes arrivent au village de Les Cabannes. Ces voitures sont vraiment gênantes pour les participants.

 

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 16:42

Nous sommes arrivés hier après midi à Tarascon sur Ariège où nous avons pris possession de notre location située à 1,5Km du centre ville. Le but de notre séjour étant de participer à la cyclosportive l’Ariègeoise demain matin.

Ce matin je commence la journée par une petite ballade de 35Km en me dirigeant vers Foix par des petites routes qui me permettent de glaner 2 cols. Le premier, « col del Barri » à 535m d’altitude me surprend par sa pente à 14% (noté sur le bitume). C’est seulement sur 200m mais je réalise que je suis dans les Pyrénées et là les pentes des cols sont supérieures aux cols Ardèchois que j’ai sillonnés il y a 15 jours. Le deuxième, « col de la Perche » à 675m est dans le brouillard, la pente dans certains passages est aussi entre 10 et 15%. Dans cette humidité je ressens l’irritation respiratoire liée à mon état toujours bronchiteux depuis ces 3 dernières semaines. C’est sûr cela ne va pas m’aider demain dans l’Ariègeoise.

Au retrait des dossards, on retrouve Maryvonne et Roland, ils viennent d’arriver en camping car. Danièle fait la connaissance d’un couple de cyclistes portant le maillot Ardèchoise. Ayant elle aussi participer il y a 15 jours, elle échange avec la dame.  Il s’avère que ces gens sont Mayennais adhérents au club cyclotourisme de Cuillé. C’est le village d’origine de toute ma famille paternelle. D’ailleurs, le vice président du club de Cuillé serait mon cousin Bernard. Ce couple que l’on a baptisé les Mayennais est en camping car basé au village Les Cabannes, juste au pied de la dernière ascension, le fameux plateau de Beille.  Maryvonne et Roland vont les rejoindre sur cet aire de camping car.

L’après midi, nous décidons de reconnaître la dernière montée. Partant du village Les Cabanes, il a 15,6Km d’ascension pour un dénivelé de 1300m. En voiture cela ne semble pas trop impressionnant à la montée mais en descente on voit bien qu’il y a des passages à fort pourcentage. Au retour sur l’aire de camping car, on retrouve les Mayennais. Maurice s’interroge sur le désavantage qu’il va avoir avec son vélo cadre acier par rapport au carbone. Évidemment, je lui en passe une petite couche avec son vélo il pourrait faire la journée Vintage à Saumur. Entre Mayennais et ex Mayennais on peut plaisanter…

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